Après l'arrivée timide des éléphants de la politique, le programme Twitter a plongé le mardi 7 avril devant l'afflux provoqué par l'inscription de "NKM".
L'image de la baleine, symbole d'un service "over capacity" est très vite apparue en lieu et place de celle de la secrétaire d'Etat à la prospective et à l'économie numérique.
Le simple relais de son inscription par quelques blogueurs (et une réunion avec des blogueuses amies) aura permis à la secrétaire d'Etat de se propulser dans la blogosphère.
En quelques dizaines de minutes, NKM avait déjà réuni près de 500 "followers" (suiveurs) quand la secrétaire nationale du Parti Socialiste Martine Aubry patine depuis plusieurs semaines, atteignant péniblement les 193 "followers" qui en sont toujours à se demander si ils ont affaire au bon profil de la femme politique.
Des petits malins se sont en effet amusés à créer de faux comptes, ce qui fait écrire à Martine Aubry : "Bon Twitter c'est bien pratique, mais Facebook c'est quand même pas pareil, mon profil sur facebook: http://tinyurl.com/dltbjk".
La bataille de la communication aura bien lieu
Il est de toute manière certain que les prochaines campagnes électorales passeront obligatoirement par la maîtrise des outils de l'internet. Si dans ce domaine Ségolène Royal a pris beaucoup d'avance, la direction du Parti Socialiste a des projets si l'on en croit cet article du Figaro. A Lyon aussi, Gérard Collomb investit particulièrement la "communication numérique", que ce soit par des séances de tchat en direct sur le site internet de la ville pour répondre aux questions des "citoyens", par ses comptes Twitter et Facebook ou pour donner des recettes de cuisine sur le blog de Romain Blachier, adjoint socialiste du septième arrondissement.
ben alors?des links de partout mais pas sur romain blachier? et puis j'ai plus de followers que notre maire!lol
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